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Catalogue KarYair Voyage Edition

Nomades du Tien Shan (W. SCHUELLER)
Au fin fond de l'Asie centrale, indépendante depuis le 31 août 1991, la jeune république autonome du Kirghizstan s'éveille. Après deux révolutions en 2005 et 2010, elle entame à présent sa mutation. Mais pour les amoureux de la nature qui souhaitent encore vivre au rythme des saisons et partager la vie de ce peuple accueillant et attachant, le tourisme vert permet de découvrir un pays au carrefour des civilisations, riche d'un passé souvent ignoré qui a pourtant connu les grand rendez-vous de l'Histoire. 
Pendant quinze jours, entre les rives sableuses du lac Issyk-Köl et les hautes estives du Song-Köl, nous avons parcouru ces terres en famille.
Contes albanais (A. DOZON)
L'Albanie, terre où la tradition orale a longtemps conserver la prépondérance sur l'écrit, est celle des rhapsodes, chanteurs des récits épiques de l'ancienne Grèce. Auguste DOZON a consacré une partie de sa vie à recueillir une partie de cette tradition orale pour nous permettre de pénétrer cette culture millénaire, qui cultive des liens étroits avec les autres grands contes européens. Ce recueil de 24 contes ne constitue qu'une partie de ses travaux, mais n'avait jamais été rééditée depuis 1930.

 
Contes et fables indiennes - tome 1 (A. GALLAND)
Les Fables de Bidpaï, si célèbres dans tout l’Orient depuis plusieurs siècles, ont d’abord été écrites pour l’éducation des princes des confins de l’Inde et de la Perse, afin qu’ils acquièrent le sens d’un gouvernement juste et éclairé. Pensées sous le modèle de courtes histoires destinées à enseigner les règles de conduite que tout souverain se devrait de suivre pour maintenir la paix et l’équité dans son royaume, elles furent par la suite traduites par les Ottomans, qui les firent découvrir en Europe. Elles ont inspiré nombre d’auteurs, jusqu’à La Fontaine. Divisées en quatorze parties, chacune illustrant un principe de sagesse et de bon sens, elles s’articulent comme des poupées russes à mesure que les personnages deviennent à leur tour narrateur.
Contes et fables indiennes - tome 2 (A. GALLAND)
Les Fables de Bidpaï, si célèbres dans tout l’Orient depuis plusieurs siècles, ont d’abord été écrites pour l’éducation des princes des confins de l’Inde et de la Perse, afin qu’ils acquièrent le sens d’un gouvernement juste et éclairé. Pensées sous le modèle de courtes histoires destinées à enseigner les règles de conduite que tout souverain se devrait de suivre pour maintenir la paix et l’équité dans son royaume, elles furent par la suite traduites par les Ottomans, qui les firent découvrir en Europe. Elles ont inspiré nombre d’auteurs, jusqu’à La Fontaine. Divisées en quatorze parties, chacune illustrant un principe de sagesse et de bon sens, elles s’articulent comme des poupées russes à mesure que les personnages deviennent à leur tour narrateur.
200 contes de Nasreddin Hodja
Figure emblématique de la culture populaire turque, Nasreddin Hodja n'a pas son pareil pour se conduire de la plus extravagante des façons envers ses voisins, les notables de la ville, et jusqu'au sultan, à qui il donne du fil à retordre. Irrévérencieux, sarcastique, simple parfois, mais toujours drôle, il traverse les épreuves de la vie en compagnie de sa femme, de son âne, et affronte le monde en interprétant à sa manière les lois sensées le régir. Mais sans jamais se départir d'un détachement qui le rend tantôt attachant, tantôt détestable. Et s'il accepte mal de ne pas avoir le dernier mot, c'est aussi pour montrer à ses interlocuteurs que l'absurde a toute sa place dans un monde qui ne l'est pas moins.
Contes populaires de l'île de Corse (J.-B. F. ORTOLI)
Frédéric ORTOLI, instituteur corse, fut un pionnier du recueil des traditions orales de son île natale. Déplorant que personne avant lui n'ai pris la peine de rassembler ces contes populaires, il donne la parole à ses aînés, des hommes et des femmes ordinaires qui gardent le souvenir vivace de ces récits aux influences diverses.
Il nous livre ici trente contes et dix-sept légendes, collectés dans son entourage proche, autour de son village natal d'Olmiccia, en Corse du sud. Une façon originale de transmettre l'oralité culturelle d'un patrimoine en train de disparaître, et qui s'inscrit dans la tradition populaire d'une Europe paysanne.
Récits d'Inde (T. PAVIE)
Un oncle établi en Louisiane et la lecture des récits de voyage de Chateaubriand ne pouvaient que pousser le jeune Théodore Pavie à devenir l'orientaliste et le grand voyageur qu'il devint. Embarqué dès dix-sept ans pour l'Amérique du Nord, il poursuit vers le sud sa longue errance. Maitrisant déjà huit langues, il entame des études de sanscrit qui vont le conduire en Inde, où il se rend en 1839 en passant par le Moyen-Orient. Auteur de nombreux récits de voyage, il collabore à la Revue des deux mondes, dans laquelle il publie des nouvelles qui témoignent de sa parfaite connaissance du sous-continent indien. 
Fables de Krylof (I. A. KRYLOF - traduction de C. Parfait)
À l’instar de La Fontaine, dont il commença par s’inspirer avant de produire des œuvres totalement originales, Ivan Andreïevitch Krylof usa des paraboles habiles de la fable pour croquer les travers de ses contemporains. Personnage truculent , par bien des côtés opposé à La Fontaine, son modèle initial, il est de nos jours toujours l’objet d’une admiration sans bornes dans le monde russophone. Postérité d’autant plus grande qu’elle s’auréole de la preuve ultime de son génie : avec le temps, ses morales, maximes et autres paraboles ont fait florès, jusqu’à devenir des expressions de la vie courante.
Il y a donc toute bonne raison de relire cet auteur, encore trop méconnu en France.
L'aigle noir des Dacotahs (G. AIMARD)
Gustave Aimard s’éteint à soixante-quatre ans, le 20 juin 1883, et laisse derrière lui plus de vingt-cinq ans d’une vie d’écriture durant laquelle il livra plus de soixante-dix titres. Une oeuvre sans commune mesure qui pourtant ne lui assurera la postérité que durant cinquante années à peine. Avant que Jules Verne ne devienne définitivement l’ambassadeur du roman d’aventures, la prose simple d’Aimard avait déjà réveillé l’imaginaire d’une jeunesse qui découvrait avec lui les grands espaces de l’Ouest américain et le monde de la flibuste. Ce succès se poursuivra jusqu’au milieu du XXe siècle, avant qu’Aimard ne soit oublié, victime de l’abandon d’un genre qui ne devait son succès qu’au contexte des feuilletons populaires du XIXe siècle.
Le Miriani, Histoire du roi Miri (M.-F BROSSET)
Les péripéties de Sinbad, popularisées dans l'Asie pré-musulmane avec la diffusion, depuis le berceau indien, des Mille et une nuits,ont sans doute paru trop succinctement racontées au goût de certains imitateurs, qui se sont à leur tour lancés dans le récit d'aventures largement inspirées de ce socle. Le Miriani, conte géorgien d'auteur inconnu, fait partie de ce corpus qui se diffusa dans la zone d'influence perse. Sous-titrée "une romance géorgienne", on retrouve dans l'histoire du roi Miri tous les ingrédients des contes orientaux : enchantements, amour, trahisons, combats contre des êtres surnaturels...
Contes et légendes du Caucase (J. MOURIER)
On connaît peu de choses de la vie pourtant riche de Jules Mourier. Son nom, aujourd’hui oublié, n’apparaît plus dans aucun dictionnaire, aucune notice biographique, même en Géorgie, où il passa une partie de son existence à se faire l’ambassadeur de sa culture et de ses richesses. Il débarque à Tiflis (devenue Tbilissi) en 1878, pour être le professeur de français des enfants du grand-duc Mikhaïl Nikolaïevitch Romanov. En parallèle, il se penche sur l’histoire encore méconnue de ce qui fut l’ancienne Colchide des Grecs, étudie les arts, la religion… Il parcourt la Géorgie afin de recueillir des données géographiques et ethnographiques et publie à chaque fois, des ouvrages aujourd’hui confidentiels et difficilement consultables.
Du Pacifique à l'Atlantique par les Andes et l'Amazone (O. ORDINAIRE)
Nommé Consul de France au Pérou en 1882, Olivier Ordinaire, après seulement trois années en poste, décide de rentrer en France. Il choisit pour cela de traverser d'ouest en est le continent sud-américain, depuis Callao jusqu'à Para de Belem, à l'embouchure de l'Amazone. Un périple qui le lance à l'assaut des Andes, qu'il franchit à presque 5 000 m d'altitude avant de plonger dans les territoires indiens de Campas, où il séjourne un mois, avant de poursuivre sa route. Le long des affluents du haut bassin de l'Amazone, parmi les Indiens Conibos ou Shipibos, il rallie le confluent de l'Ucayali et du Marañon, qui donne officiellement naissance à l'Amazone proprement dite.
Contes bizarres (A. d'ARNIM)
Moins connu en France que son contemporain Hoffman, que Balzac fit découvrir dès 1829 dans la Revue de Paris, Joachim von Arnim l'est davantage dans son pays d'origine. Pour Théophile Gautier qui, de tous les écrivains français de l'époque, fut celui qui s'attacha le plus à explorer les ressorts de la littérature fantastique, il était légitime de se lancer dans la publication de son oeuvre, à la sensibilité si typiquement allemande. Lui qui déplorait cette "manie des Fraçias à expliquer le fantastique par quelque supercherie" et louait à l'inverse la profonde conviction de D'Arnim à "raconter ses hallucinations comme des faits certains", publie en 1856 trois de ses principaux textes.
Récits d'entre terre (W. SCHUELLER)
Au Maroc, perdu au fond d’une gorge du Moyen Atlas, un village abandonné, Aouli. Ultime témoin de la vie des forçats du plomb qui s’acharnèrent, dans des conditions de misère, à extraire de la montagne le précieux métal, il est aujourd’hui une relique d’un temps passé dont seuls les plus anciens évoquent encore le souvenir. Dans la région de Tataouine, en Tunisie, subsistent également les vestiges d’un temps où le djebel offrait encore refuge et protection aux hommes, contre la famine et les raids. Les ksour et citadelles de ce sud tunisien tombent désormais en ruine malgré leur intérêt indéniable.
Voyage à Constantinople (B. POUJOULAT)
Parmi la multitude de récits de voyage à Constantinople que produisit le XIXe siècle, celui de Poujoulat semble relativement sobre en regard de ceux d’autres auteurs espérant envoûter leurs compatriotes en embellissant les charmes d’une ville que beaucoup ne verront jamais. Sans être réellement journalistique, son style se veut aussi réaliste que le permet l’émerveillement lié à la découverte d’une culture et d’un modus vivendi trop souvent idéalisés. Au gré de ses découvertes, Poujoulat sera d’ailleurs perpétuellement tiraillé entre la critique des aspects les moins reluisants de la culture ottomane et l’exaltation des descriptions qu’il ne peut manquer de faire de cette capitale exotique, à la croisée des peuples.
Biribi, discipline militaire (G. DARIEN)
Biribi, dans l'imaginaire collectif du XIXe et début du XXe siècle, c'est l'enfer des camps disciplinaires, l'arbitraire des peines, et la cruauté des chaouchs, ces gardiens impitoyables qui torturent et enlèvent le peu d'humanité qui subsiste chez les déchus de la République.
Trente ans avant Albert Londres, Georges Darien dresse un réquisitoire sans concession de cet univers effroyable. Un récit d'autant plus bouleversant qu'il repose sur l'expérience personnelle de son auteur, l'un des rares à avoir témoigné à son retour pour dénoncer cette lointaine géhenne que les autorités françaises ne fermeront qu'en 1974.
Vie d'Ali Pacha, visir de Janina (A. de BEAUCHAMP)
Si le personnage d'Ali Pacha nous était connu de longue date, c'est un voyage en Epire grecque qui nous permit d'approfondir les détails de sa vie. Une vie qui inspira tant les diplomates et gouvernants qui croisèrent sa route, que les écrivains qui trouvèrent, dans les péripéties aventureuses qui furent les siennes et qu'il se plaisait à mythifier, matière à ouvrir plus grandes encore les portes d'un orientalisme naissant. A l'heure où Chateaubriand parcourait les terres de Grèce avant de poursuivre vers la Palestine et l'Egype, il était déjà pacha des terres de cette mystérieuse contrée des confins de la Roumélie ottomane
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Le roi des montagnes (E. ABOUT)
Un jeune botaniste allemand, en mission pour le Jardin des Plantes de Hambourg, est enlevé, ainsi que deux anglaises, par le célèbre Hadgi-Stavros. Le Roi, comme on le surnomme, règne sans partage aux portes d'Athènes, à l'abri des autorités. Libérés contre rançon, ou exécutés froidement si elle n'est pas versée, quel sera le sort de ces otages plutôt récalcitrants, qui vont lui mener la vie dure ?
Amour étrusque (J.-H. ROSNY Aîné)
Auteur redevenu célèbre grâce à l’adaptation que fit J.J. Annaud de son roman La guerre du feu, Joseph-Henri ROSNY, dit l’Aîné, fut un des pionniers de la science-fiction moderne. Avec Amour étrusque, il nous invite cependant à découvrir un texte plus classique, écrit comme une tragédie antique : celui de la passion impossible de Dionys, jeune homme originaire de Sicile, tout empreint de culture grecque, et Dehva, descendante des premiers rois étrusques. Mais dans cette Italie méridionale du Ier siècle après J.-C., les Dieux et les hommes condamnent cet amour, qui ne peut avoir qu’une issue. 
Le Guaranis - Zèno Cabral tome 1 (G. AYMARD)
Comme Gabriel Ferry avant lui, Gustave Aimard, qui a participé à rendre populaires les récits sur l’Ouest américain, a parcouru le Nouveau Monde; du nord au sud, et plus longuement que son prédécesseur. Mais lui qui a sillonné la partie méridionale de ce continent immense peut proposer à ses lecteurs une expérience nouvelle, avec l’exotisme fascinant d’un Sud encore peu décrit dans la littérature. Dans le cycle de ses œuvres sud-américaines, nous proposons ici les aventures de Zèno Cabral, trois romans publiés la même année (1864), mais de manière indépendante, et sans se réclamer de la trilogie sous laquelle nous les présentons.
Le Montonero - Zèno Cabral tome 2 (G. AYMARD)
Comme Gabriel Ferry avant lui, Gustave Aimard, qui a participé à rendre populaires les récits sur l’Ouest américain, a parcouru le Nouveau Monde; du nord au sud, et plus longuement que son prédécesseur. Mais lui qui a sillonné la partie méridionale de ce continent immense peut proposer à ses lecteurs une expérience nouvelle, avec l’exotisme fascinant d’un Sud encore peu décrit dans la littérature. Dans le cycle de ses œuvres sud-américaines, nous proposons ici les aventures de Zèno Cabral, trois romans publiés la même année (1864), mais de manière indépendante, et sans se réclamer de la trilogie sous laquelle nous les présentons.
Zèno Cabral - Zèno Cabral tome 3 (G. AYMARD)
Comme Gabriel Ferry avant lui, Gustave Aimard, qui a participé à rendre populaires les récits sur l’Ouest américain, a parcouru le Nouveau Monde; du nord au sud, et plus longuement que son prédécesseur. Mais lui qui a sillonné la partie méridionale de ce continent immense peut proposer à ses lecteurs une expérience nouvelle, avec l’exotisme fascinant d’un Sud encore peu décrit dans la littérature. Dans le cycle de ses œuvres sud-américaines, nous proposons ici les aventures de Zèno Cabral, trois romans publiés la même année (1864), mais de manière indépendante, et sans se réclamer de la trilogie sous laquelle nous les présentons.
Voyages aux Pyrénées (H. TAINE)
Camarade d'Edmond About à l'École Normale Supérieure, Hippolyte Taine exprime tôt sa passion pour l'histoire. Fraîchement diplomé, il refuse une mutation dans sa Bourgogne natale pour rester sur Paris. En 1855, il part en cure thermale dans les Pyrénées ; voyage qu'il relate dans Voyages aux Pyrénées. Une occasion pour lui de s'inscrire dans le grand mouvement des auteurs-voyageurs, avant de s'attaquer à une oeuvre plus conséquente sur les Origines de la France contemporaine. Membre de l'Académie française, il enseigne un temps le droit en Angleterre (Oxford).
Infernaliana (C. NODIER)
Charles NODIER (1780-1844), pour n'avoir jamais su complètement choisir à quel siècle il appartenait, a passé sa vie à naviguer entre les styles littéraires. Fervent défenseur d'une langue française qu'il estime mise à mal par une Renaissance trop gréco-latinisante à son goût, il puise volontiers chez Montaigne et Rabelais, aux sources d'une érudition qu'il juge plus traditionnelle. Pourtant, il figure parmi les premiers pré-romantiques aux côtés d'Hugo, qui le lisait et reconnaissait son influence avant qu'ils ne se brouillent. Ses petits romans nouvelles et contes sur les revenants, les spectres, les démons et les vampires, recueil de 34 nouvelles courtes, sont empreints du réalisme fantastique dont se réclamait Hoffmann.
Contes misanthropiques (S.H. BERTHOUD)
Les contes misanthropiques de Berthoud, que n'eut pas reniés Hoffman, s'adressent à ceux qui, comme lui, portent un regard désabusé sur notre condition et nos penchants les plus vils. Mais là où, chez Hoffman, le fantastique venait amoindrir la vilenie de l'Homme, Berthoud ne laisse transparaître que la noirceur de son âme et le tragique de la destinée.
Aucun espoir ne vient éclairer le destin des héros malheureux de ces histoires. Et si la mort survient, ce n'est jamais avec le lyrisme tragique du classicisme grec, mais plutôt comme une implacable et misérable fatalité.
Le grand Castriotto, surnommé Scanderbeg
Scanderbeg, devenu aujourd'hui le héros mythique de toute l'Albanie, a passé sa vie à lutter contre l'occupant ottoman chez lequel il fut élevé et formé aux arts militaires. S'il faudra attendre encore plus de 5 siècles avant que son rêve d'une Albanie souveraine et libre prenne corps, il reste celui qui, le premier, tenta de fédérer un peuple tourné vers l'ancienne loi du kanun et les rivalités de clans.

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Découvrez la préface en avant première.
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